Le problème peut se résumer à ceci :

  • des femmes ne se sentent pas concernées avec la formulation du neutre grammatical français
  • alors que les hommes en général se sentent tout à fait concernés quand on dit « une personne »

Donc, il y a un défaut de culture. Je pense même qu'il y a une contre culture à l'œuvre qui amène à autoentretenir une posture victimaire paranoïaque délirante.

⇒ À votre avis, qu'est-ce qui pourrait construire de plus désirable et efficace pour sortir ces femmes de leur posture de victimes (et ces hommes solidairement dans leur posture d'oppresseurs systémiques) ?